Assises Nationales de l'Outre-Mer

Publié le 16 juillet 2006 par Pierre Maresca

Sous le thème de « Convention pour la France d’après », les assises nationales UMP de l’outre-mer se sont tenues mercredi 12 juillet 2006 à la salle Gaveau prés du siège de l’UMP, rue La Boétie à Paris.

Devant plus de 400 personnes représentant l’ensemble des départements et territoires d’Outre-Mer, les participants ont travaillé sur la plate-forme électorale qui sera intégrée dans le programme national de l’UMP pour les élections présidentielle et législatives.

A noter qu’à la demande de Nicolas SARKOZY c’est la première fois que l’outre-mer figurera dans le projet national. Chaque fédération UMP des collectivités ultramarines avait été sollicitée pour participer, à travers une contribution, à l’élaboration de ce programme.

Lors des assises territoriales qui se sont tenues à Boulouparis le 20 mai dernier, la contribution de la Nouvelle-Calédonie a été validée et le secrétaire général Pierre MARESCA mandaté par le Président Pierre FROGIER pour la remettre, dans les jours qui suivaient, au Président de l’UMP Nicolas SARKOZY. Notre texte a été annexé au projet pour l’Outre-Mer et nous avons eu la satisfaction d’entendre Nicolas SARKOZY s’exprimer lors de son discours de clôture à la Convention sur certains points que nous avons soulevés.

Le Rassemblement UMP était présent à la Convention à travers une forte délégation conduite par Pierre FROGIER. Elle a assisté à l’ensemble des travaux et notamment à l’atelier que présidait le député FROGIER avec pour thème : « créer un véritable développement local et un emploi durable en outre-mer ».

Cette convention était organisée par Michel DIEFENBACHER, député du Lot-et-Garonne et secrétaire national de l’UMP en charge de l’outre-mer. Elle a été marquée entre autres, par l’intervention du ministre de l’Outre-Mer François BAROUIN et par le discours de clôture de Nicolas SARKOZY, président de l’UMP.

A retenir de sa déclaration « Etre un homme d’Etat, c’est être capable d’être entendu à Nouméa ou à Papeete de la même façon qu’en Creuse ».

Nicolas, les calédoniens ont bien reçu ton message !