J'ai choisi Sarkozy

Publié le par Pierre Maresca

Par Pierre Maresca, candidat aux élections législatives dans la 1ère circonscription

 

En novembre 2004, Nicolas Sarkozy a été élu Président de l’UMP. J’ai eu l’honneur d’assister, Porte de Versailles, à son discours d’investiture .C’est là, en cette circonstance, que mon choix a penché en sa faveur.

 

Nicolas Sarkozy cultive le parler vrai. Il ne met pas ses idées en berne. Il ne s’excuse pas sans cesse, comme nombre de responsables politiques de droite, de ne pas être de gauche. Il parle, sans complexe, de valeurs qui sont les miennes et qui étaient occultées  par ceux qui auraient du les promouvoir avec conviction et détermination : les vertus civiques incarnées dans la réhabilitation du travail, la fierté de notre identité nationale, les problèmes d’intégration posés par une immigration mal contrôlée, l’indispensable sécurité des personnes et des biens, le refus d’une repentance qui fait de la France la mère de tous les maux dont souffre l’Humanité contemporaine. Sur toutes ces questions qui constituent les fondements d’un modèle social, je suis en harmonie totale avec lui.

 

J’adhère également au concept de rupture qu’il a évoqué pour une meilleure conduite des affaires de la France , dans un esprit renouvelé par la nécessité vitale pour notre pays de mettre en place les réformes structurelles qui seules sont de nature à interrompre le processus de déclin qui gangrène notre société.

 

Avec Edouard Balladur, Nicolas Sarkozy a été le seul des hauts responsables de l’UMP à s’opposer au gel du corps électoral calédonien. Ce positionnement, qui marque le refus d’un déni de démocratie inacceptable dans notre République, permet d’envisager pour l’avenir des perspectives positives. Notamment une mise au point  sur ce sujet sensible afin d’obtenir l’engagement que cette mesure inique que j’ai combattue avec force, soit clairement identifiée comme provisoire, le temps de la durée de l’Accord de Nouméa. Il faudra, à l’issue de ce processus, rétablir dans leurs droits démocratiques nos compatriotes concernés.

 

J’ai noté, dans sa lettre aux Calédoniens, que Nicolas Sarkozy « attache la  plus grande importance au respect de l’Accord de Nouméa ». Je crois qu’il faut avec lui clarifier la lettre et l’esprit de cet accord pour éviter qu’il  soit détourné unilatéralement de ses objectifs.

 

J’ai, comme des milliers d’élus, accordé mon parrainage à la candidature de Nicolas Sarkozy. Le Conseil Constitutionnel a procédé au tirage au sort des 500 parrains officiels et j’ai eu la chance d’en faire partie. J’y vois un clin d’œil du destin qui préfigure le soutien qu’en tant que député de la Nouvelle-Calédonie , si les électeurs m’en jugent dignes, j’entends lui apporter pour qu’avec lui nous participions à l’immense effort de redressement de la France. Pour qu’avec lui surtout nous assurions aux calédoniens  un avenir de paix pour tous dans la France.

                                                                                   

 

 

 

                                                                                      Pierre Maresca

 

 

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